Le Sentier des Justes en Christ

Le Sentier des Justes en Christ

LES DERNIÈRES RÉACTIONS DES MECQUOIS IDOLÂTRES


La fureur des fétichistes atteint son paroxysme à l'époque où Mahomet leur présente le Cor.Ar. Ces fétichistes en
récusent l'autorité :
« Ils nient tout. » (Sourate 41/2-4 et 17/101).
« Ils contestent les miracles de Dieu. » (Sourate 40/4).
« Les incrédules tergiversent sur nos enseignements. » (Sourate 6/67).
« Quand on leur récite les versets du Cor.Ar., invariablement ils tournent le dos. » (Sourates 44/12-13; 21/109).
« Ils en discutent la nuit dans des discours insensés. » (Sourate 23/68).
« Ils tournent le dos, qu'importe Mahomet, délivre néanmoins le message dont tu es chargé. » (Sourate 16/85).
Comme ils le faisaient naguère lorsque le Maître instructeur leur expliquait oralement les versets bibliques :
« Quand tu prononces le Nom du Dieu Unique dans le Coran, ils tournent le dos et s'éloignent avec aversion. »
(Sourate 17/49).
Les adversaires de Noé n'agissaient pas autrement en traitant de menteur l'envoyé de Dieu (Voir sourate 10/72-73).
Avant la composition du Cor.Ar., les idolâtres s'attaquaient surtout à Mahomet et à sa tentative de prosélytisme
basée sur une connaissance apprise, maintenant qu'il existe un ouvrage écrit en arabe, c'est à cet ouvrage rédigé par
le maître instructeur qui sert de cible à leur fureur. Ils tournent le Coran en ridicule :
« Malheur à tout calomniateur plein de péchés, qui entend les versets de Dieu, qui lui sont communiqués, puis
s'obstine dans son orgueil, comme s'il ne les avait pas entendus ! Annonce-lui un tourment cruel ! Malheur à ceux
qui connaissent quelques-uns de nos versets et les tournent en dérision. A ceux-là es réservé un châtiment
ignominieux. » (Sourate 45/6-8).
Tu viens, Mahomet, nous raconter que ton livre (le Cor.Ar.) est une écriture bénie qui fut d'abord donnée par Moïse
aux Juifs. Et c'est ce livre que tu as l'audace de nous prêcher !!
Ne méprisez pas un Juifs qui vous affirme que ce livre est semblable au précédent (Sourate 46/9-10), ne dites plus :
« Si l'on nous eût envoyé un livre, nous en aurions fait meilleur usage qu'eux (les Juifs). » (Sourate 6/158).
Ils disent :
« Dieu n'a rien révélé à l'homme... ce que tu nous présentes comme un livre révélé n'est après tout qu'un rouleau
de parchemin. » (Sourate 6/91).
Pourquoi vous prosterner devant pareil rouleau ? Bien plus, tu viens nous raconter qu'il aurait existé un premier
rouleau (hébreu), donné par Dieu lui-même à Moïse... Nous n'y croyons pas ! Tu nous parles maintenant d'un
second rouleau écrit en arabe... Nous n'y croyons pas davantage !
Du Coran hébreu et du Coran arabe ils disent :
« Ce sont DEUX oeuvres de sorcellerie, nous ne croyons ni en L'UN, ni en L'AUTRE ! » (Sourate 28/48).
« Ce Coran n'est qu'un mythe, une histoire de conteur » (Sourate 6/25).
« Ce sont oeuvres de sorcellerie... Ce n'est qu'amas de rêve, oeuvre de poète, c'est lui qui a inventé le Coran. »
(Sourate 21/3-5).
Quant au Coran arabe, il procèderait aussi de la révélation divine ?... Avec tes histoires, ne perds pas d'avantage de
temps, nous savons à quoi nous en tenir :
« C'est toi Mahomet qui a inventé tout cela ! » (Sourate 32/2)
« Il l'a inventé ce Coran ! » (Sourate 11/6-17).
Comment pourrait-il connaître lui-même l'histoire de la grande révélation de Dieu sur le Mont Sinaï ?
Mahomet, y étais-tu sur le Mont Sinaï ?
« Nous avons donné à Moïse le Livre, après avoir anéanti les générations précédentes. Tu n'étais pas sur le
versant occidental (du Mont Sinaï) quand nous édictâmes l'ordre à Moïse. Tu n'étais point parmi Madian, leur
commettant nos signes. Tu n'étais pas sur le flanc du Mont Sinaï quand nous interpellâmes (Moïse). » (Sourate 28).
« Ce Coran n'a pu être composé par personne sinon par Dieu. Il confirme ce qui a été révélé avant lui, il explique
pleinement les Ecritures. Il provient sans aucun doute possible du Seigneur de la Création. » (Sourate 10/37).
La tension monte ; le maître spirituel de Mahomet pérore sur l'incrédulité des Mecquois :
« Je te jure ! Par le livre évident, le Coran de Moïse : Il n'y a de Dieu qu'Elohah (en arabe : Ilahah) ; c'est lui qui
est votre Seigneur et le Seigneur de vos pères. »
Ce dernier se tourne vers Mahomet et lui dit avec assurance qu'ils ne riront pas toujours :
« Guette le jour où le ciel apportera une fumée qui couvrira tous les hommes ! Ce sera un tourment
épouvantable. »
A ce moment-là, ils ne rirons plus : « Seigneur, gémiront-ils, écarte de nous le châtiment ! Nous croyons
maintenant ! »
La réplique des Mecquois :
Non Mahomet ! Nous ne croyons pas que tu es l'envoyé de Dieu. Nous ne croyons pas à la divinité de ta mission.
Nous ne croyons pas à la divinité du livre arabe que tu t'obstines à nous raconter (Sourate 44/1-13).
« Tu n'es qu'un élève instruit par d'autres (les juifs), un moullamoum (un possédé » (Sourate 44/13).
Vous êtes les ennemis de Dieu et vous savez que Dieu écrase toujours ses ennemis et les punit éternellement.
« Le jour où nous frapperons le coup suprême, nous en tirerons vengeance. » (Sourate 44/14-15).
Les idolâtres parlent sans arrêt et la tête leur tourne :
Ton fameux livre, en définitive, d'où vient-il ?
« Ce n'est qu'une imposture qu'il a forgée, et d'autres gens l'y ont aidé. Ils apportent ainsi une iniquité et une
fausseté. » (Sourate 25/4-5).
« Il s'en est fallu qu'il nous détournât de nos Dieux. » (Sourate 25/44).
« Si ton livre était véritablement descendu d'en haut, nous y croirions. » (Sourate 29/49).
« Ah ! S'il avait été révélé à un des hommes puissants des deux villes (la Mecque & Médine), nous aurions pu y
croire. » (Sourate 43/30).
On encourage Mahomet dans sa mission :
Tu es honni Mahomet, mais tu es béni de Dieu, ne crois pas à la fausse logique de tes compatriotes fétichistes. C'est
à nous qu'appartient l'avenir. Nous possédons la révélation divine :
« Le Coran est une révélation sublime, la fausseté ne l'atteindra jamais de quelque côté qu'elle vienne, car il vient
du digne de toute sagesse, du digne de toute louange. » (Sourate 41/42).
Non Mecquois idolâtres, « Sa parole n'est pas la parole d'un poète, un rappel de nos écritures. », comme vous êtes
de courte mémoire ! C'est une révélation du Seigneur des mondes. (Voir sourate 69/41).
Ce Coran Arabe que Mahomet vous récite est « un rappel de nos Ecritures » (Voir sourate 36/69).
De son côté, Mahomet tente d'attirer désespérément l'attention des Mecquois sur son maître de conscience ; il
s'efforce de rendre celui-ci crédible à leurs yeux :
« Vous avez auprès de vous un témoin parmi les Fils d'Israël, interrogez-le donc ! Il pourra vous affirmer avec
autorité la vérité de ce que je dis. » (Sourate 46/9-10).
« Vous savez bien que les docteurs d'Israël connaissent le Coran de Moïse. » (Sourate 26/197).



07/12/2015
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